L’an dernier, nous mettions l’accent sur la nécessité de repenser notre modèle économique de développement, non pas en prônant la décroissance mais plutôt en inventant de nouveaux paradigmes, de nouveaux axes.
Dans un monde en perpétuelle mutation où les bouleversements se multiplient, où les rapports de force entre acteurs économiques ne cessent d’évoluer, il est plus que jamais essentiel d’arrêter une ligne stratégique, de cerner ses objectifs, de garder un cap car « il n’est pas de vent favorable pour celui qui ne sait pas où il va »… Se fixer cette démarche stratégique ne signifie pas qu’il faille imposer ses vues contre vents et marées mais que les « business models » sur lesquels nous basons nos plans de développement doivent être flexibles, adaptables, faire preuve d’une souplesse maximale.
Dans ce contexte, la réactivité peut-être une qualité mais aussi un défaut si on l’adopte comme seule ligne de conduite. Il est important de projeter une vision structurée (et fatalement structurante) sur ses activités tout en implémentant, en « digestant » les nouvelles variables qui influencent nos plans de développements, voire en les anticipant, ce que les meilleurs patrons de PME parviennent à faire.
Le rôle d’un partenaire haut de bilan est aussi d’attirer l’attention du dirigeant sur ces évolutions, sur leur implication en termes de plan stratégique, commercial, financier… Les équipes FIELD / EUREFI sont constamment à l’écoute de ces ruptures sur les marchés, de ces tendances structurelles appelées à modifier les règles du jeu des marchés sur lesquels sont positionnées nos participations.
Certains secteurs d’activité sont plus exposés que d’autres à ces mutations mais il est aussi des (r)évolutions qui touchent l’ensemble des activités, à des degrés divers d’intensité mais de manière unanime. Nous pensons ici à « Internet » qui a modifié notre perception du monde et de l’espace-temps dans lequel nous nous mouvons.
Internet ce n’est pas demain mais c’est hic et nunc.
L’équipe EUREFI